Organisateur :
Li Ma, li.ma@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
- Thierry Amalou (Université d’Artois) et Eric Roulet (Université du Littoral-Côte d’Opale) : Introduction : la thématique de l’atelier et le projet de recherche « Refuges »Isabelle Fernandes (Université de Clermont) : « Identité religieuse et exil : étude des exilés mariaux (1554-1558) »
- Yves Junot (université polytechnique des Hauts de France) : « Du refuge protestant aux migrations circulaires autour des Pays-Bas espagnols : un bilan historiographique ».
- Anne Wegener (université de Paris 1) : « Les huguenots au Surinam : refuge ou mobilités professionnelles ? ».
Organisateur :
Éric Roulet, eric.roulet@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Le 25 avril 1550, jour de la Saint-Marc, le roi Henri II de France fait son entrée solennelle dans la cité de Boulogne-sur-Mer rachetée aux Anglais après six ans d’occupation. L’événement, salué par la littérature et la musique, marque le passage de la ville à l’ère moderne : nouvelle charte de commune, rénovation du coutumier boulonnais, création d’un présidial, ouverture de nouveaux documents comptables et de registres paroissiaux, transformations urbaines et architecturales. Organisée conjointement par l’Université Littoral Côte d’Opale et le Cercle d’Études en Pays Boulonnais avec le soutien de la municipalité, la présente manifestation scientifique visera à éclairer d’un jour nouveau cette étape décisive de l’histoire du Boulonnais et à la situer plus largement dans son contexte politique régional, national et international. Le champ d’investigation comprendra la sénéchaussée de Boulogne ainsi que ses champs relationnels, et s’étendra de 1532 à 1568. Le colloque, ouvert à un large public, permettra en outre de mettre en valeur le riche fonds de manuscrits et d’incunables de la Bibliothèque des Annonciades de même que les documents archivistiques et les objets archéologiques conservés depuis cinq siècles par la ville de Boulogne.
Organisateurs :
Jean Devaux, Jean.Devaux@univ-littoral.fr
Isabelle Clauzel, iclauzelCEPB@gmail.com
Organisateur :
Li Ma, li.ma@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
- Autour de David Gilles, professeur à l’Université de Sherbrooke
Organisateur :
Éric Roulet, eric.roulet@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Le jardin, un terrain planté de végétaux utiles ou d’agrément, généralement clos, attenant ou non à une habitation, à la française (classique et régulier), à l’anglaise (pittoresque) peut être aussi dit familial, ouvrier, public, botanique, zoologique, d’acclimatation selon la spécificité de sa destination. On trouve par ailleurs des jardins suspendus, des jardins japonais, des jardins d’hiver et des jardins des plantes. L’histoire des jardins traverse celle des civilisations et des cultures en raison de la relation que l’homme entretient avec la nature et de la représentation qu’il s’en fait. On connaît les jardins idéaux de la mythologie grecque (l’Arcadie, le jardin des Hespérides, les roseraies du roi Midas), de la culture occidentale (le jardin d’Éden et sa double dimension : lieu du paradis sur terre et de la faute d’Adam et Ève). Le jardin est donc à la fois un lieu symbolique et culturel qui reflète les conceptions esthétiques de son époque.
Organisateurs :
Jacqueline Bel, Jacqueline.bel@univ-littoral.fr
Till R.Kuhnle, Université de Limoges
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Après les rencontres consacrées à la guerre (2018), à la religion (2019), au voyage (2020), aux espace maritimes (2021), le thème retenu cette année par la SFR Territoires historiques porte sur les lieux de la fabrique. Si le patrimoine industriel des XIXe et XXe siècles concentre de nombreux projets d’étude, de valorisation et d’enseignement, la perspective du colloque envisage une périodisation plus longue : des officines gallo-romaines de potiers aux productions médiévales et modernes des grès du Beauvaisis, il s’agira tout d’abord de mesurer l’empreinte industrielle dans son voisinage avec l’artisanat, les productions domestiques et leur commercialisation. D’autre part, la genèse de l’usine, concomitante de la création des manufactures royales du XVIIe (miroirs de Saint-Gobain, draps fins de Van Robais à Abbeville…), invite à réfléchir au processus d’industrialisation, à sa visibilité, sinon sa monumentalité, et à ses conséquences sociales. Enfin, à travers l’approche multi-scalaire, les « lieux de la fabrique » incitent aussi à élargir l’échelle des comparaisons à d’autres espaces afin de mieux faire ressortir leurs spécificités respectives.
Co-organisateurs :
Thierry Amalou (PU, UA, CREHS)
Pascal Montaubin (MCF, UPJV, TRAME)
Philippe Nivet (PU, UPJV, CHSSC)
Jean-Louis Podvin (PU, ULCO, HLLI)
Pierre Schneider (PU, UA, CREHS)
Le troisième séminaire du projet « Manuscrits de prison en Amérique latine » aura lieu le lundi 13 novembre de 10h30 à 12h à l’ULCO (site de Boulogne-sur-Mer) à la BULCO et sera consacré à l’Argentine. Nous aurons le plaisir de recevoir l’écrivaine argentine Alicia Kozameh qui viendra nous présenter son oeuvre. Née le 20 mars 1953 à Rosario, Alicia Kozameh est une romancière, nouvelliste, poète et professeure au sein du département d’anglais de l’Université Chapman en Californie du Sud. Quelques mois avant le coup d’Etat de la junte militaire de Jorge Videla, elle a été jetée en prison en septembre 1975, alors qu’elle n’avait qu’une vingtaine d’années. Elle y est restée trois ans et trois mois. Pendant sa détention, elle a rédigé entre février 1977 et décembre 1978 deux cahiers de notes personnelles et littéraires qui font partie du corpus d’étude du projet « Manuscrits de prison ». Lire la suite…
Ses oeuvres les plus connues sont Pasos bajo el agua, son premier roman publié en 1987 qui revient sur son expérience carcérale, le roman 259 saltos, uno inmortal (2001) traduit en plusieurs langues, le recueil de poèmes Mano en vuelo publié en 2009 et plus récemment, la pentalogie Sal de sangres publiée entre 2018 et 2021.
Organisatrice :
Isabelle Pouzet, isabelle.pouzet@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Après deux colloques qui ont mis en lumière les représentations émotionnelles et spatiales de l’intime au siècle d’or (Université de la Sorbonne Paris nord, 2019) puis l’intimité corporelle aux XVIe et XVIIe siècles (Université de Bourgogne Franche-Comté, octobre 2021), s’ouvre le troisième volet de la réflexion sur l’intime. Il s’agira d’explorer les stratégies et les codes qu’adoptent les auteurs pour formuler l’intime et le représenter, au sein de l’Europe de la première modernité. L’on envisagera, dans une perspective pluridisciplinaire, les fonctions et les enjeux d’une représentation intime, en considérant que la sphère privée de l’autre y est souvent également impliquée.
Contact pour inscription : sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateurs :
Florence Toucheron, florence.toucheron@univ-littoral.fr
Sarah Pech (MCF, Université de Sorbonne Paris Nord),
Estelle Garbay et Cécile Iglesias (MCF, Université de Bourgogne)
Christine Orobitg (PU, Université Aix-Marseille)
- Éric Saunier, université du Havre : « Deux siècles de migration maçonnique aux colonies (1738-1930) : l’échec de la diffusion de la religion de la tolérance ? ».
- Thierry Amalou, université d’Artois : « Le refuge. A propos du dossier à paraitre à paraître dans la Revue du Nord ».
- Éric Roulet, université du Littoral Côte d’Opale : « Les migrations des minorités religieuses vers les Amériques ».
Organisateur :
Éric Roulet, eric.roulet@univ-littoral.fr
Contact pour inscription :
Sophie Bracqbien, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
La Fleur des histoires est une vaste compilation d’histoire universelle en prose composée par Jean Mansel, fonctionnaire à la cour de Bourgogne, dans les années 1440. Restée longtemps dans l’oubli, elle connaît désormais un regain d’intérêt de la part des chercheur.se.s, mais son texte, demeuré à l’état manuscrit, est difficile d’accès et encore trop méconnu. Or, la Fleur a joui d’un succès considérable auprès des lecteurs nobles de la fin du Moyen Âge et est conservée par un nombre relativement important de copies, parmi lesquelles on trouve l’exemplaire richement enluminé ayant appartenu à la bibliothèque des ducs de Bourgogne (Bruxelles, KBR, 9231-9232).
Nous avons l’intention de proposer une première édition critique de cette compilation, plus précisément de sa version plus ancienne en trois livres qui racontent l’histoire du monde de la Création au couronnement de Charles VI (1380). Lire la suite…
Organisatrices :
Elena Koroleva, Elena.Koroleva@univ-littoral.fr
Prunelle Deleville, Prunelle.Deleville@unige.ch
Le culte d’Isis est introduit en Campanie, puis à Rome dès le IIe siècle avant J.-C. et c’est à partir de l’Italie qu’il se propage ensuite en Gaule. La fermeture du temple d’Isis à Philae, vers 535 de notre ère, marque la disparition officielle du culte dans le monde méditerranéen, mais la mémoire d’Isis et des divinités de sa « famille » – parmi lesquelles on compte notamment Osiris, Sérapis et Harpocrate, mais aussi Anubis, Apis et Bubastis – perdure au fil des siècles et est constamment renouvelée jusqu’à l’époque moderne. Si des recherches ont déjà été menées sur la réception de la figure d’Isis et de sa gens, les réécritures de leur légende aux derniers siècles du Moyen Âge et à la Renaissance, sur lesquelles nous souhaitons concentrer notre investigation, n’ont jamais bénéficié d’une étude spécifique. Dans le cadre de cette journée qui croisera les approches de l’histoire des textes et de l’histoire de l’art, il s’agira d’examiner aussi bien la réception des traditions gréco-latines que la création de mythologies nouvelles autour de la figure d’Isis et des divinités du cercle isiaque, en France et en Italie.
Elena Koroleva, elena.koroleva@univ-littoral.fr
Jean-Louis Podvin, jean-louis.podvin@univ-littoral.fr
Les compagnies disposent souvent pour la conduite de leurs affaires d’un petit comité de direction composé de directeurs élus par les actionnaires lors d’une assemblée générale ou choisis par l’État qui se réunit régulièrement. Ils peuvent être 4, 12 ou davantage. Leur mandat est en général de deux ans et ils doivent présenter lors des assemblées générales le bilan moral et financier qui justifie leur action. Les conditions pour accéder à cette charge sont diverses selon les compagnies et les époques mais ont tendance à privilégier les plus gros actionnaires. Dans la Compagnie des Indes occidentales de 1664, il y a par exemple trois niveaux d’actionnaires : un premier niveau jusqu’à 10 000 livres, est composé de simples intéressés ; de 10 000 à 20 000 livres, les actionnaires peuvent participer à l’assemblée générale et avoir voix délibérative ; ceux qui paient plus de 20 000 livres peuvent être élus directeurs. Les directeurs occupent une place centrale dans les compagnies jusqu’à leur prêter leur visage.
- Accéder au programme
- Lien pour participer à la Journée d’étude en visioconférence
- Contact pour recevoir l’ID et le code secret pour la connexion : sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateur :
Éric Roulet, eric.roulet@univ-littoral.fr
Porteur du programme ANR ACTIMOD 2020-2024
La découverte de traditions culinaires, la dégustation de plats emblématiques ou de boissons locales, constituent pour de nombreux touristes, des éléments clés de l’expérience vécue lors de la découverte d’une destination. Ces dernières années, un grand nombre de destinations touristiques ont fait le choix, pour se différencier, de valoriser leur territoire en promouvant les attraits de leur patrimoine culturel matériel mais aussi immatériel. Dans ce contexte, les territoires de la bière, par leur production agricole et brassicole, fournissent des éléments patrimoniaux matériels et immatériels abondants, susceptibles d’être des marqueurs pour ces territoires, marqueurs dont l’exploitation permet également de construire et développer une attractivité touristique.
Organisateurs :
Nathalie Dupont, nathalie.dupont@univ-littoral.fr
Laëtitia Garcia, laetitia.garcia@univ-lille.fr
Dans une conférence dispensée en 1967, Michel Foucault propose de définir des espaces différents de tous les autres lieux, qu’il nomme « hétérotopies » : contrairement aux utopies, qui sont des « emplacements sans lieu réel », les hétérotopies sont des lieux effectifs, des « sortes d’utopies effectivement réalisées dans lesquelles tous les autres emplacements réels que l’on peut trouver à l’intérieur de la culture sont à la fois représentés, contestés et inversés, des sortes de lieux qui sont hors de tous les lieux, bien que pourtant ils soient effectivement localisables ». Le dernier exemple qu’il donne, en guise de conclusion, est celui de l’espace défini par le navire : « si l’on songe, après tout, que le bateau, c’est un morceau flottant d’espace, un lieu sans lieu, qui vit par lui-même, qui est fermé sur soi et qui est livré en même temps à l’infini de la mer et qui, de port en port, de bordée en bordée, de maison close en maison close, va jusqu’aux colonies chercher ce qu’elles recèlent de plus précieux en leurs jardins, vous comprenez pourquoi le bateau a été pour notre civilisation, depuis le XVIe siècle jusqu’à nos jours, à la fois, non seulement bien sûr le plus grand instrument de développement économique […], mais la plus grande réserve d’imagination. Le navire, c’est l’hétérotopie par excellence. Dans les civilisations sans bateau, les rêves se tarissent, l’espionnage y remplace l’aventure, et la police, les corsaires. »
Contact :
Sophie Bracqbien, secrétariat UR4030HLLI, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateurs :
Julie Gay, julie.gay@univ-littoral.fr,
Marie-Agathe Tilliette, marie-agathe.tilliette@univ-littoral.fr.
À l’automne 1215, après l’implosion du consensus politique qui avait donné lieu à la Grande Charte, les barons révoltés contre Jean sans Terre se tournèrent vers le roi de France pour obtenir un soutien militaire. À cette date Philippe Auguste ne semble pas avoir voulu être directement impliqué dans les affaires anglaises : ce fut son fils Louis qui accepta l’offre du trône anglais faite par une partie des barons. Louis mit sur pied une expédition destinée à venir leur porter secours comme à défendre ses droits et débarqua en Angleterre au mois de mai 1216 : au terme de plus d’une année de combats, marquée par les défaites de Lincoln (mai 1217) et de Sandwich (août 1217), il dut accepter un accord avec le gouvernement de régence dirigé par Guillaume le Maréchal et quitter l’Angleterre.
Contact :
Sophie Bracqbien, secrétariat UR4030HLLI, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateurs :
Claire Soussen, claire.soussen@univ-littoral.fr
Frédérique Lachaud, frederique.lachaud@sorbonne-universite.fr
Ce colloque pourra prendre la forme de conférences ou de tables rondes. Il est principalement destiné aux enseignants-chercheurs et chercheurs des laboratoires en lettres, langues, arts, sciences humaines et sociales des universités du Littoral, d’Artois et d’Amiens. Les propositions peuvent prendre la forme d’études de cas (qui n’ont pas toujours pu être développées à Boulogne-sur-Mer), de réflexions épistémologiques ou de propositions générales touchant aux sens et aux évolutions de ce que les langues ou les sociétés désignent par le mot de « patrimoine »…Lire la suite
Contact :
Sophie Bracqbien, secrétariat UR4030HLLI, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Philippe Nivet, philippe.nivet@u-picardie.fr,
Jean-Louis Podvin, jean-louis.podvin@univ-littoral.fr,
Anne-Gaëlle Weber, agaelle.weber@univ-artois.fr.
Ce second volet de cette Journée d’Étude se centre sur les figures historiques passées à la postérité, encore célèbres de nos jours ou seulement renommées à une période précise de l’Histoire, et elle privilégie les approches historiques et littéraires. Pour saisir pleinement la notion de « figure », riche d’un point de vue sémantique, il faut la considérer dans son ensemble, pour ses actes, pour ce qui l’illustre, pour ce qu’elle a suscité dans nos esprits et pour ce que nous en avons gardé. Il s’agit donc de nous concentrer sur des figures du passé qui ont marqué les mémoires, si bien qu’elles sont passées à la postérité. Ces dernières peuvent appartenir à l’histoire locale ou nationale. La thématique est abordée sous l’angle suivant : comment l’image d’un personnage bien réel peut-elle évoluer au fil de la tradition historique et littéraire ?
Les jeunes chercheurs interviendront sur cette question selon le type de figures du passé :
– le premier type est le personnage historique de grande envergure qui a marqué une époque ou qui reste encore présent dans les esprits, tels Vercingétorix, Jeanne d’Arc ou Napoléon ;
– le second type s’attache à une histoire plus locale qui s’est répandue au niveau national, tels Gilles de Rais, dit Barbe Bleue, les attaques imputées à la bête du Gévaudan, ou Landru et sa cheminée.
Contact :
Sophie Bracqbien, secrétariat UR4030HLLI, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateurs :
Grace Baillet : ulcogracebaillet@gmail.com
Cécile Rault : cecile-rault@laposte.net
Quel rôle joue l’appartenance familiale dans la justification d’un pouvoir dans l’Antiquité ? Le vocabulaire de la famille est si variable, les généalogies si inventives, les mémoires familiales et communautaires si diverses, que la légitimation par l’appartenance familiale n’est jamais neutre. Comment les pouvoirs antiques recomposent-ils leur légitimité dynastique ? Quelles sont les places de la matrilinéarité et de la primogéniture dans ces constructions ? Comment les modèles messianiques se construisent-ils sur une affirmation d’appartenance familiale ? Qu’en est-il des familles d’experts qui revendiquent un pouvoir spécifique sur la société ?
Contact :
Sophie Bracqbien, secrétariat UR4030HLLI, sophie.bracqbien@univ-littoral.fr
Organisateurs :
Michaël Girardin, Michaël.Girardin@univ-littoral.fr