
Dès son plus jeune âge, Gabriela Mistral (1889-1957) commence à parcourir les routes et les chemins du Chili avant d’aller découvrir le monde. Elle part d’abord, avec sa mère et sa sœur, à La Serena en 1901. Ensuite, entre autres expériences pédagogiques, elle sera enseignante assistante en 1904 à l’Ecole de la Compañía Baja, non loin de La Serena. Elle y occupe également un poste d’inspectrice au Lycée de Filles en 1907, puis elle devient professeur d’Histoire et Inspectrice Générale du Lycée de Filles d’Antofagasta en 1911 et elle est enseignante et directrice du Lycée de Filles de Punta Arenas entre 1918 et 1920. En 1922, invitée par le ministre Vasconcelos, elle collabore à la réforme éducative au Mexique où elle rencontre Palma Guillén, qui l’accompagnera…Lire la suite
Date limite de soumission : 15 avril 2025
Les propositions de communication d’une dizaine de lignes, incluant le nom, prénom, affiliation et une brève bio-bibliographie du/de la communicant/e, sont à envoyer conjointement à :
Lise Demeyer, lise.demeyer@univ-littoral.fr
Benoît Santini, benoit.santini@univ-littoral.fr

Dans son étude intitulée Le Sens littéraire de l’humour publiée en 2010, Jean-Marc Moura formule ce constat : « l’humour s’attache et s’attaque à tous les aspects de la littérature, cultive tous les registres et tous les genres » (Moura, 2010). Si l’humour se manifeste sous des formes variées, à travers les époques et les genres littéraires, il semble aujourd’hui encore échapper à une définition stable confirmant ainsi l’expression de Pierre Daninos : « L’humour, calvaire des définisseurs ». Pourtant, les études contemporaines sur l’humour ont connu ces dernières décennies un essor considérable : articles de revues, colloques, séminaires, tables rondes, entretiens, témoignent de sa richesse théorique et de sa complexité. Son exploration dépasse aujourd’hui les cadres strictement littéraires pour mobiliser des approches transdisciplinaires, mêlant critique littéraire, philosophie, sciences cognitives, sociologie et théories du langage. Lire la suite…
Journée d’étude « Intelligences artificielles génératives en éducation : pratiques, formation et enjeux »
ULCO – Campus Saint Louis, Boulogne-sur-Mer
Le 7 novembre 2025
Comment former les enseignants, les étudiants aux usages des intelligences artificielles génératives en éducation tout en répondant aux enjeux éthiques, juridiques et pédagogiques qu’elles soulèvent ? Cette journée d’étude sera l’occasion de réunir chercheurs, enseignants, formateurs et étudiants pour réfléchir ensemble aux implications, défis et opportunités qu’offrent ces technologies dans le domaine éducatif. Lire la suite…
Date limite de soumission : 6 juin 2025
Nous invitons les chercheurs de différentes disciplines (sciences de l’éducation, sciences du langage, sciences de l’information et de la communication, droit, philosophie, informatique, etc.) à proposer des communications s’inscrivant dans l’un des trois axes de cette journée d’étude. Les propositions de communication d’une dizaine de lignes, incluant le nom, prénom, affiliation et une brève bio-bibliographie du/de la communicant/e, sont à envoyer conjointement à :
Émilie Perrichon, emilie.perrichon@univ-littoral.fr
François Annocque, francois.annocque@univ-littoral.fr

L’espace carcéral est, par définition, le lieu de la mobilité empêchée : l’adjectif « carcéral » en français (tout comme les substantifs carcere en italien, cárcel en espagnol et cárcere en portugais), vient du latin carcer, signifiant à la fois « prison » et « enceinte », « barrière ». Dans l’espace carcéral, qu’il soit prison, bagne ou galère, les mouvements du corps sont limités, voire rendus impossibles, tout comme la communication est entravée. La contrainte spatiale a pour conséquence un ressassement temporel, un temps vécu comme stagnant ou circulaire. Ce chronotope de l’immobilité, qui est un topos de la littérature carcérale, confère à chaque déplacement une importance accrue : les contraintes pesant sur les circulations, qu’elles soient humaines ou matérielles, en font des points nodaux des représentations carcérales. Lire la suite…
Date limite de soumission : 7 juillet 2025
Les propositions (400-500 mots environ), accompagnées d’une brève présentation bio-bibliographique, sont à envoyer conjointement à :
Marie-Agathe Tilliette, marie-agathe.tilliette@univ-littoral.fr
Louise Dehondt, louise.dehondt@unicaen.fr

This conference seeks to explore the pervasive influence of the flux and flow of seas, oceans, rivers and other waterways on Irish and Scottish literatures from the late 19th century to the present. The rise of the “blue humanities” as part of what is often referred to as an “oceanic turn” in the humanities has turned critical attention towards the centrality of seas and oceans in the shaping and understanding of our real and fictional worlds. As Blum and Brannigan have argued, thinking from the vantage point of the sea invites an alternative epistemology that flows beyond landlocked and nation-bound frameworks, to embrace the connective, plural and interwoven currents of oceanic and riverine dynamics. Indeed, while initially blue humanities were mainly interested in oceans and seas, critics such as Steve Mentz have recently called for a more “inclusive” approach to the field, which would be open to multiple forms of water such as rivers, ice, vapor but also coastal spaces, islands and archipelagos (2023b, 143), encouraging the development of a “poetics of planetary water” (140). Lire la suite…
Date limite de soumission : 1er octobre 2025
We invite contributions that explore the multiple ways Irish and Scottish writers have perceived and addressed the perpetual flux and flow of aquatic worlds, from the late 19th century to the present, and the poetic modes and aesthetic principles that have emerged from this engagement.
Proposals (approx. 400-500 words), accompanied by a brief bio-bibliographical presentation, should be sent jointly to :
Léa Sinoimeri, lea.sinoimeri@univ-littoral.fr
Julie Gay, julie.gay@univ-littoral.fr